La création d’un environnement de travail sécurisé est un enjeu majeur pour tous les établissements d’enseignement (écoles maternelles et primaires, collèges, lycées et campus d’enseignement supérieurs).
La communauté éducative et les élèves doivent pouvoir travailler et étudier dans des conditions sécurisées.
Malgré le nombre de personnels important dans les établissements d’enseignement, il n’est pas rare que certains personnels travaillent hors de vue et hors d’ouie de leurs collègues.
Gardien et femmes de ménage interviennent en horaires décalés sur des plages horaires où personne n’est présent (tôt le matin ou tard le soir).
Dans les universités, certains agents ont des fonctions qui les amènent à se retrouver seuls sur leur lieu de travail. Agents techniques, personnels de laboratoire, d’animaleries, agents des espaces verts peuvent être amenés à travailler le week-end, les jours fériés et pendant les vacances scolaires.
Si l’organisation du travail ne permet d’organiser le travail en binôme, il est de la responsabilité de l’employeur de fournir un dispositif d’alerte.
Le nombre de cas médiatisés d’incidents, de menaces et d’agressions à l’encontre d’enseignants ou de personnels éducatifs a fortement augmenté en 2023.
Ces événements sont traumatisants pour les victimes et accroissent l’inquiétude des personnels de l’éducation nationale.
En 2022, environ 40 % des enseignants interrogés par l’Autonome de solidarité laïque, association qui œuvre pour la protection et le conseil juridique au personnel de l’éducation nationale, déclarent avoir été victimes d’injures. 19 % du personnel de l’école primaire et maternelle et 16,3 % du personnel des collèges et lycées ont été victimes de menaces de la part d’élèves mais aussi de parents. Les agressions physiques, elles concerneraient un peu moins d’un enseignant sur dix. Mais l’enquête révèle que ces chiffres n’ont pas bougé depuis plusieurs années.
Même si elles restent, en réalité, minoritaires, ces agressions reflètent un climat de travail de plus en plus difficile pour le monde enseignant.
La sécurité des étudiant.es sur les campus universitaires est également un sujet qui revient souvent dans les médias. Vols, menaces, agressions sexuelles et sexistes, homophobie sont relatés.
Le baromètre 2023 de l’Observatoire Étudiant des Violences Sexuelles et Sexistes dans l’Enseignement Supérieur révèle que ”plus d’1 étudiant·e sur 2 (54 %) ne se sent pas réellement en sécurité dans son établissement au regard des violences sexistes et sexuelles. “Près de la moitié des étudiant·es considèrent que leur établissement ne fait pas assez pour lutter contre les violences sexistes et sexuelles”
L’université de Nantes a mené une enquête auprès de ses étudiant.es entre janvier et mars 2023. 4 répondant.es sur 10 déclarent “avoir été victimes d’au moins une situation de violence dans le cadre de leurs études, stages, jobs étudiants ou dans leur vie personnelle et familiale”.
“Les violences décrites dans les lieux d’études concernent majoritairement l’appropriation et la destruction de travaux personnels, les atteintes à la réputation, les mises à l’écart des activités étudiantes et l’exposition à des images à caractère pornographique.” Les violences sexistes et sexuelles décrites dans les réponses sont en majorité commis à l’extérieur de l’établissement, dans l’espace public ou dans la sphère privée.
WaryMe propose aux établissements d’enseignement une solution d’alerte individuelle de détresse pour leurs agents de terrain isolés et leurs personnels d’accueil.
Le dispositif d’alerte WaryMe permet aux agents isolés de déclencher une alerte de détresse de manière simple et discrète sur smartphone, bouton SOS ou montre connectée.
Les différents modes de déclenchement permettent de couvrir toutes les situations de travail :
Le bracelet SOS et la montre connectée permettent de lancer une alerte discrète en cas d’urgence.
Application PTI-DATI compatible Android et iPhone.
Bouton Bluetooth pour alerte discrète.
Un DATI nouvelle génération, toujours sur soi.
Pratique, discret et robuste.
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Proposez aux usager.es et étudiant.es du campus de télécharger l’application WaryMe.
En cas d’urgence, l’utilisateur lance une alerte sur son smartphone. Il est mis en lien rapidement avec le PC sécurité du campus.
C’est un dispositif simple et facilement accessible sur smartphone : l‘application WaryMe permet de renforcer le sentiment de sécurité des usagers (enseignants, étudiants, intervenants extérieurs) sur les campus et de traiter rapidement les situations critiques.
Le bouton SOS peut également être intégré à l’application mobile du campus, si celle-ci a été développée.
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